Introduction
Le but de cet article est de répertorier et offrir une petite analyse des fails que j’ai eu durant l’année 2024, certains sur le thème de la sécurité, d’autres niveau sportif.
La vidéo suivante accompagne l’article et met en image chacune des situations. Je vous encourage à regarder les segments de vidéo avant de lire le paragraphe correspondant: https://www.youtube.com/watch?v=-LPJYqGMfag
Drisse de frein autour de la poignée des arrières
Vol du matin après un Vol rando au Col de Baure (Site maintenant interdit !), je gonfle, pas de problème, je contrôle la voile, pas de problème. Mais juste après avoir décoller je sens ma voile qui me décale vers la droite droit vers des arbres. Merde à coup sur j’ai une clé. Je gère le cap, je regarde la voile et directement je vois le problème. Ma drisse de frein est totalement emmêlée dans ma poignée des arrières.
Le problème est identifié, j’arrive à garder mon cap, il n’y a donc pas d’inquiétude. J’essaie de démêler la drisse, mais celle-ci résiste plus que prévu à cause de la tension de la voile. je prends le temps de filmer la situation pour la documenter et je résous le problème sans trop de difficulté.
Le problème aurait sûrement pu être évité avec une pré-vol plus soignée. Même si c’est lors du gonflage et de la tension de la drisse qu’elle a dû verrouiller le nœud. j’imagine que le cheminement n’était pas très clair dès le début.
Sous estimation du vent au déco
Lors de la Bornes To Fly, une compétition de marche et vol vers Annecy, je me retrouve à la fin de la première journée au Margeriaz. Le plan est de monter au plus vite pour y décoller puis partir en face Ouest pour remonter vers Annecy dans un dernier vol.
Après 2h20 de marche à bon rythme, j’arrive avec JB, un copain/assistant, à un premier endroit décollable. On est surpris de voir qu’il y a pas mal de Sud. On voit que d’autres pilotes arrivent à décoller un peu plus loin, ils montent bien sans trop avancer, puis se lancent en direction d’Annecy. Notre plan tient la route.
Je commence à me dire qu’il y a pas mal de vent et que ça peut devenir problématique. Le copain qui est avec moi est moins expérimenté, je lui propose donc de décoller avant moi pour ne pas le laisser seul dans ce déco. Et là déjà, je vois maintenant une différence de perception due à la fatigue. Le copain ne comptait pas du tout décoller dans ces conditions et je n’avais pas du tout remarqué que le vent était clairement trop fort pour lui.
Je suis plutôt habitué à du gonflages et des décos dans du vent fort, je ne m’inquiète pas sur ma capacité à décoller. On étale la voile, je gonfle et voilà que je me fais arracher et je retombe quelques mètres plus loin. Je neutralise directement la voile. Directement je comprends mon erreur: je ne vais pas pouvoir décoller dans ce vent.
On plie à l’abri du vent. On avance plus loin sur la crête en espérant trouver un spot plus propice sans trop d’espoir. Rapidement la déception de voir que les choix des dernières heures viennent de m’enfoncer sportivement est remplacée par le plaisir de retrouver les copains. Rémi et Romain, mes deux autres assistants, montent à la station de Margeriaz pour y passer la nuit. On retrouve Quentin, mon frangin sur la crête et Constance, sa copine n’est pas loin. Tout est rassemblé pour que l’on passe une bonne soirée. Je suis passé proche de me blesser, j’ai perdu une dizaine de place dans le classement sur le choix de monter ici, mais il est hors de question de ne pas profiter d’être avec les copains. J’ai le sourire qui est revenu au lèvre.
En avançant vers le point où on veut couper le traqueur GPS, on tombe sur un autre concurrent qui essayait aussi de décoller. Il gonflait loin de la cassure de la crête sur le plat dans l’espoir d’éviter le flux principal du vent puis d’avancer dedans. On a pris le temps de rester avec lui. Rapidement on voyait, qu’il n’y avait aucune chance que les choses se passent bien. JB est allé lui expliquer qu’on allait dormir à la station un peu plus bas et qu’on visait un glide depuis le sommet le lendemain matin. Nous restons convaincu que donner une alternative à ce pilote lui a rendu plus facile le choix de renoncer au décollage.
Au final, il y a beaucoup de chose à dire sur cet épisode:
- J’ai vu l’impact qu’à la fatigue sur la capacité d’analyse.
- Je suis content d’avoir réussi à accepter facilement ma « défaite » sportive du moment pour repasser sur une humeur à profiter.
- J’ai aussi vu l’impact des alternatives dans la capacité à renoncer à une option. On a vu le cas de l’autre pilote mais pour moi aussi. Je me suis de suite senti à l’aise lorsque j’ai pu définir un plan valable pour le lendemain matin.
- C’est cool d’être bien entouré !
Aide au décollage par un inconnu
Le lendemain, préparation de la voile sur un déco montagne confort sans trop l’être, JB m’aide à préparer la voile. On fait bien attention à ne pas mettre le suspente dans un petit arbuste au sol. On place la voile dessus pour ne pas accrocher les suspentes.
Tout est bien jusqu’au moment où l’assistant d’un autre compétiteur retend un peu ma voile et la recule. Je lui demande de la laisser. Malheureusement, il place le bord de fuite jusqu’à l’arbuste et les lignes de freins. Je ne le vois pas directement et lorsque je gonfle la voile le frein gauche est tiré et la voile part totalement sur le côté pour coiffer un arbre.
Même si une personne vient aider avec plein de bonne volonté. Cela peut au final être négatif. Il est très difficile d’être très directif pour refuser l’aide de quelqu’un qui veut aider. Mais c’est parfois la bonne solution.
A l’inverse lorsque l’on veut aider quelqu’un, il est important de toujours proposer son aide et non pas de l’imposer.
But dans le Trièves
Plus léger et marrant, on se retrouve avec quelques copains au sommet du Moucherotte pour avaler des kilomètres. Certains sont chauds à faire leur premier 200km. J’ai déjà fait quelques très beaux cross d’ici cette année. Je pars donc premier pour ouvrir la voie. je pousse le barreau au maximum. Les premiers kilomètres se passent bien, je suis haut. Mais je me fais vite embêter par des nuages au niveau de la crête côté Est. J’en suis même à contourner un sommet par la face Ouest pour éviter les nuages. Rendu au Col Vert, je passe au niveau du déco (Relativement bas) et Augustin se retrouve à devoir s’arrêter pour sérieusement enrouler, il était bien plus bas. Je continue de cheminement jusqu’à passer l’angle des Deux Sœurs avant de me rendre compte que je suis super bas.
Bien en galère, très loin sous les falaises, je me mets maintenant en mode survie. j’essaie d’enrouler tous les thermiques que je croise. Augustin me passe au dessus. J’espère même pouvoir le rejoindre via un thermique bien plus bas. Mais malheureusement, ils sont sacrément difficile à tenir. Je zone en essayant d’avancer pour retrouver un meilleur endroit mais au bout du compte, je ne fais que perdre de l’altitude. Peu à peu les falaises et leur beau cheminement s’écartent de moi. Je découvre du pays en rase motte. Je descends inexorablement vers le fond de vallée jusqu’à faire du soaring sur un relief que je n’ai jamais considéré comme tel. Je reste une bonne demi heure là mais je ne vois aucune manière de m’en sortir. Pendant ce temps, deux autres copains se retrouvent à poser plus haut là où j’étais 20min avant. Augustin et deux autres arrivent à faire l’aller retour au Grand Veymont.
Me voilà posé mais j’aurais pris un bon rappel: « Des fois, il faut savoir faire ses plafs ! »
360 accéléré
Je suis encore dans la première saison où je vole avec une deux lignes, du coup je suis encore dans les tests. On m’avait parlé de 360 aux arrières en étant accéléré. Voilà que lors d’une fin de vol je teste la manoeuvre. On sent bien la vitesse, ça tire la couenne et d’un coup: un choc. Merde il s’est passé quoi ? La drisse d’accélérateur qui a lachée coté intérieur.
Voilà un test que j’ai fait une fois mais pas deux.
Grêle en cross
Nous partons durant le grand WE de mai avec des copains pour un WE de cross. A la moitié de la première journée de vol, on voit des précipitation plus loin sur le parcours. Les trois pilotes encore en l’air on décide décourter le vol mais avec trois options différentes: Couper au plus tôt, s’écarter et d’attendre en l’air ou avancer un peu puis remonter vers la voiture. Le premier arrivent à rejoindre la voiture en vol sans prendre une goutte. Le deuxième évite la pluie mais vache après le passage de celle-ci. Je suis le troisième et je me retrouve en plein sous un nuage bien menaçant qui finit par m’envoyer une petite averse de grêle. Rien de dangereux pour la capacité de vol de la voile, mais j’ai de trop rogné sur les marges pour être content de mon choix.
Déco vent de cul
Nous sommes un groupe de 4 éclatés en deux binômes durant un voyage en vol bivouac. Deux sont en fond de vallée, alors que nous sommes deux à avoir réussi à poser plus en altitude. Nous avons choisi de s’arrêter plus haut pour temporiser le temps de prendre une décision sur la suite et voir comment se retrouver tous ensemble. Après 5 minutes, nous décidons de redécoller pour rejoindre les copains en fond de vallée. Malheureusement, un léger catabatique est entrain de se mettre en place et le terrain n’est pas bien propice. Nous nous dépêchons pour nous mettre en place avant que le vent de dos se renforce.
Durant le gonflage, la voile galère a monter. e décide de forcer en accélérant encore alors que je sens tout de même que la voile n’est pas bien placée au dessus de ma tête arrivé à la cassure au bout du champ.
Sanction, l’aile ne porte pas du tout. J’impacte fort sur la route en rouler bouler.
Cette situation est la première de la série du vol bivouac. Après coup, j’ai trouvé que ces voyages en vol bivouac présente un type de risque assez insidieux: les vols sans enjeu. En effet, nous cherchions à faire un cross chaque jour dans le but de nous déplacer de spot et de faire avancer notre périple. Mais par deux fois, je me suis retrouvé à faire de grosse erreur sur un vol du soir qui n’a aucun enjeu. Après avoir crossé 150km, après avoir volé au dessus de glaciers à plus de 4000m, voilà un petit plouf pour rejoindre des copains et c’est ce plouf qui fait mal: Sans doute, un relâchement de la journée, de la sur-confiance.
Déséquilibre en vol bivouac
Toujours dans la série du vol biv, mais mignonne celle-là. Il faut garder en tête que le matériel est bien différent avec les vols habituels. Le dos bien chargé me voilà cul par dessus tête.
Flare dans le catabatique
Dernière et plus grave de la série des vol biv. Après 150km en Suisse, me voilà posé à un déco de Verbier. Un copain m’attend en bas dans la station. Je profite de ce plouf pour faire un max de proximity et de waggas. Alors qu’en haut, j’ai pas mal de vent de face remontant ma pente. Le bas est clairement en catabatique. Chauffé d’un belle session de rase motte, j’entame mon approche pour faire mon plus beau flare. Le copain essaye de me prévenir du vent descendant mais je n’entends rien.
Ma sellette touche une première fois le sol alors que je suis full accéléré. Je le relâche entièrement. Je prends une énorme ressource avec du roulis. Un bâtiment m’attend droit devant. Ces déséquilibres en tangage et en roulis additionné au besoin de dévier de trajectoire me faire arriver en glissade sur une route.
Par chance, je n’ai aucune égratignure. Ma sellette a tout pris. Les protections plus le matos de bivouac m’ont bien protégé. Mais le plus grave à mes yeux a été la peur et le stress que j’ai donné au copain qui a bien cru voir un de ces amis s’écraser sous ses yeux. Voilà une belle façon de gâcher ce qui devait être une magnifique soirée: Des heures de vols à découvrir la Suisse, survol du glacier d’Aletsch, tout ça pour faire n’importe quoi.
Presque cratère en waggas
A la fin du parcours d’un cross en février, j’arrive à faire un plafond au dessus du Grand Colon. Il reste encore une heure de convection mais je n’ai plus d’objectif à avancer. Je passe donc d’un état d’esprit de cross à de l’amusement. La face Ouest du Grand Colon et sa grande face enneigée me donne bien envie. Je perds tranquillement mon altitude pour me préparer à enchainer une session de waggas sur la neige.
Premier virage à faible hauteur, j’envoie et mon aile semble déraper et manquer de portance. Je vois le sol se rapprocher mais je me voyais bien poser involontairement sur l’instant.
Ce petit incident qui n’a l’air de rien m’a rappeler en cette début de saison qu’il fallait garder une progressivité pour une session de waggas. Je trouve qu’il est toujours bon de s’échauffer en gardant des marges assez conséquentes pour les réduire ensuite après avoir pu estimer ce que permettent les conditions et notre état actuel (Fatigue, état d’esprit, niveau de pilotage immédiat).
Pluie sortie de déco
Au mois de juillet, découverte de la vallée de Ceillac, je fais un vol rando vers une des crêtes au SO. Les conditions sont bien moins engageantes que les prévisions: Ciel totalement couvert, des nappes de nuages qui se forment et disparaissent régulièrement quelques centaines de mètres plus bas et un vent soutenu mettant le déco assez travers gauche. Je déplie ma voile puis je patientes une bonne demi heure. Je prends la décision de tester un soaring quelques centaines de mètres plus à gauche où la pente s’oriente plus face au vent.
Je décolle et 10 secondes après avoir quitté le sol, je reçois des gouttes. J’ai pris le pire timing pour décoller. Je regardes par dessus les crêtes, je ne vois aucun rideau de pluie menaçant et heureusement sinon mon observation pré décollage aurait été bien mauvais. Je fais demi tour et je m’oriente vers l’atterro en vallée. De toutes façons au vu des prévisions, je m’attendais à un vol thermique, le reste de ce vol ne pourra rien avoir d’intéressant.
Après coup, j’ai regardé les radars de pluie: Rien n’apparaissait. Je n’aurais pas pris beaucoup de pluie, quelques gouttes régulières. Mais c’est toujours de trop, les marges étaient déjà de trop réduites.
Camera suiveuse dans les suspentes
Long WE de novembre, nous voilà vers Barcelonnette à une bande de copains pour faire du vol rando. Cet automne, je reteste la camera suiveuse que j’avais imprimé il y a quelques années. J’essaye de faire choses le plus clairement pour ne pas risques de problème entre la camera et mes suspentes. Mais cette fois-ci entre les hautes herbes et l’empressement, me voilà a partir… sans problème. Jusqu’au moment où lorsque je regarde derrière moi, je vois la camera à porté de bras alors qu’elle devrait être bien plus loin. Directement je vois que la suspente à laquelle elle est attachée est emmelée dans les suspentes de la voile. Ca n’avait pas du tout gêné, ni pour le gonflage et ni en vol. Je prends un cap et je commence à démêler tout cela.
Clairement, les cameras suiveuses font des images super intéressantes. Mais il y a tellement de façon de foirer la prévol. Gros point d’attention.
Déco caillouteux
Fin de journée de vol rando. Je remonte pour un dernier vol et je dois rebrousser chemin car celui que j’ai choisi est infranchissable. Il commence à ce faire tard. Je trouve une plateforme relativement accueillante. Malgré de nombreuses roches voulant accrocher toutes mes suspentes, un vent faible et une cassure très nette. Je fais de multiples essais de gonflages, où les roches accrochent mes suspentes et menacent de couper mes suspentes. Sur le peu de fois où l’aile se gonfle, il n’y a pas assez de vent pour que je puisse m’élancer à décoller.
La situation est assez accidentogène, il y a un bons cocktails d’ingrédients pour favoriser l’accident:
- L’approche d’un dead line (La nuit).
- Une envie de ne pas multiplier les tentatives (Risque pour le matériel).
- La fatigue de la journée (Départ en rando au levé de soleil).
- Une inadéquation entre la topographie et les conditions météo (Peu de vent et une cassure très nette pleine de rocher où il est rapidement impossible d’avorter la course).
Je suis content d’avoir pris en compte ces différents facteurs et de ne pas avoir forcé de déco avant d’être dans de bonnes conditions.
Bloqué en l’air
Après un petit cross dans pas mal de vent, j’attends en l’air des copains. Peu à peu le vent se renforce, surtout proche du sol sans que je ne m’en rende compte. Lorsque je veux poser, la masse d’air est très turbulente et mes fait constamment remonter. Je me retrouve bloqué en l’air parfois à 2m du sol, puis 5m au dessus en quelques secondes. En tout 40min entre quand j’ai pris la décision de posé et quand j’ai eu les pieds au sol.
Les conditions évoluent vite et il vaut mieux savoir quand poser que regretter d’être toujours en l’air.
Atterro réduit dans la pénombre
Fin de cross au coucher de soleil, je décide de poser sur un parking en périphérie de village. Je focalise mon attention sur la compréhension de l’état du parking. Il est en travaux et je cherche à comprendre où est la zone que je peux utiliser. De fait, j’en oubli presque un fil électrique que je connais bien. Ne sachant plus exactement où je suis par rapport au fil électrique, je m’en écarte très vivement et me voilà haut, avec du déséquilibre pendulaire pour atterrir dans une zone réduite. Avec mon expérience actuelle, ça n’a pas été un problème mais il y avait là bien des pièges:
- Pénombre du coucher de soleil.
- Surprise du posé très réduit par rapport à ce qui était prévu.
- Multiples obstacles en hauteur.
Camera suiveuse dans un arbre
Toujours durant mes expérimentations de camera suiveuse, je m’amuse à faire des rases mottes proches du sol et des arbres. Je suis très habitué à faire cet exercice mais assez peu avec la camera suiveuse. Je l’oublie et voilà un arbre qui passe trop proche. La camera tape bien dans l’arbre heureusement sans s’accrocher.
Avec une camera suiveuse, je préfère avoir la camera plus basse que moi pour éviter quelle puise se mettre dans les suspentes en cas problème. par contre ça veut dire quelle peut taper des obstacles que je passe. De plus vu quelle est décalé sur le côté par rapport à moi, je peux passer éviter un obstacle mais qu’elle le prenne. Je pense maintenant à mettre en place un fusible pour éviter qu’elle tire sur ma voile si elle s’accroche dans un arbre. Je pourrais éviter le proxy une camera suiveuse, mais ça c’est beaucoup moins marrant.
But à Bisanne
Classique but avec de grandes ambitions. On est trop motivé, trop chaud de nos derniers cross. On cherche trop à avancer. Au final, trois copains qui vachent lamentablement et encore je suis celui qui est allé le plus loin. Plus qu’à remonter en speed à un déco pour profiter du reste de la journée.
Décros et cravates
Exos de décro, depuis que je suis passé d’une prise de commande en dragonne à une prise de commande en demi wrap, je suis moins propre sur cet exos. La Lynx me fait de belles cravates mais c’est justement l’occasion de bosser le décravatage. Je ne suis pas du tout à l’aise, je sens la voile partir en arrière à la moindre occasion dès que je mets un peu de frein. Je
Cette voile n’aime vraiment pas être cravaté. Vive la Zeo !


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