Vol Rando CHVD

Date du vol rando : 22/07/2025
Organisateur de la sortie : Philippe RG

Participant(s) à la sortie : Arnaud P., Christophe C., Fred G., Martin C., Nathan B., Philippe RG, Philippe B., Simon B. et Patrick (invité)
Transport : à 4 roues

Massif : Chartreuse
Orientation du déco : Nord-ouest
Altitude du déco : 2082 m pour Arnaud et Martin, 1940 m pour les autres
Dénivelé : 1082 m (Arnaud et Martin), 940 m (Fred, Nathan et Philippe B. ), 630 m (Christophe, Patrick, Philippe RG et Simon)
Durée de la marche : différente pour chaque équipe
Distance totale de la marche : pareil !
Atterro : Le Sappey

Itinéraire de montée :

Les uns depuis le Col de Porte et je ne détaille pas…
Les autre depuis le Sappey, en passant par le Habert de Chamechaude et en poursuivant par la grande traversée descendante vers la Source de Bachasson. Mais ici on invente des variantes : Arnaud et Martin partis comme des fusées continuent vers la Folatière (le hamburger), les autres tentent de trouver la Rampe de l’Écureuil, ne retrouvent pas le passage, longent alors la falaise pour retrouver le chemin classique, trouvent une sortie en haut d’un entonnoir, équipé d’une corde à nœuds pas trop pourrie qui les conduit enfin sur l’arr^te quirejoint la Brêche Arnaud.

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Récit de l’aventure :

Timing parfait pour l’équipe qui monte du Col de Porte et les égarés de l’Écureuil; ils arrivent ensemble au déco de la Brèche Arnaud (vent nul, parfois un souffle de travers ou même dans les chevilles, parfois une brisouille juste dans le nez. En revanche, nous avons perdu Martin et Arnaud. Ce sera donc le sujet du traditionnel point-sécurité ; il y a deux options : (1) on part à leur recherche, (2) ils sont grands, ils sont deux, ils se démerdent. Il n’y a pas trop le temps prolonger la discussion: une voile déboule du sommet – mais c’est qui dessous ? – puis une seconde qui sait parler à la radio : c’est Arnaud qui vient quand même survoler sa brèche. OK, on peut décoller maintenant.
La suite c’est banal. À l’exception du vent assez inhabituel à l’atterrissage qui vient de plutôt de l’est. C’est l’occasion de zigzaguer avec plus ou moins de réussite entre le gros arbre, les cages du terrain de sport et les ferrailles du skate-park (tiens, il semble que le pump-track ait disparu).

Je reviens quand même sur ma frustration de ne pas avoir retrouvé la Rampe de l’Écureuil, sur les chaussettes de Fred qui ont de belles étiquettes (une sorte de « suivez-moi jeune homme« ), la frustration du même Fred d’avoir raté aussi l’arche qui est dans le coin. Enfin l’optimisme du GPS de Nathan et de Nathan lui-même qui nous ont permis de découvrir un passage pittoresque.

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